Je suis allé cette semaine à une initiation à cet art martial relativement nouveau (par rapport au karaté ou au judo) qu'est l'aikido.
En gros, j'ai retenu qu'il fallait apprendre à tomber, apprendre à se déplacer en fonction des mouvements de l'adversaire, apprendre à utiliser l'énergie de ce dernier et exploiter ces points faibles...L'entraînement qui permet d'étudier chaque mouvement au ralenti à tout d'une chorégraphie.
En participant à cette initiation, j'ai repensé à l'amour des Japonais pour le détail, à leur "sens" du détail. C'est souvent en observant et en imitant pécisément les gestes de l'expert que les Japonais se transmettent quelques-uns de leurs arts les plus subtiles (calligraphie, cérémonie du thé...).
Comme quoi, le raffinement peut se glisser même dans un art guerrier.
En gros, j'ai retenu qu'il fallait apprendre à tomber, apprendre à se déplacer en fonction des mouvements de l'adversaire, apprendre à utiliser l'énergie de ce dernier et exploiter ces points faibles...L'entraînement qui permet d'étudier chaque mouvement au ralenti à tout d'une chorégraphie.
En participant à cette initiation, j'ai repensé à l'amour des Japonais pour le détail, à leur "sens" du détail. C'est souvent en observant et en imitant pécisément les gestes de l'expert que les Japonais se transmettent quelques-uns de leurs arts les plus subtiles (calligraphie, cérémonie du thé...).
Comme quoi, le raffinement peut se glisser même dans un art guerrier.
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