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dimanche 12 avril 2015

Manger au Japon : petit voyage en dix images

La cuisine japonaise est variée : la preuve par dix.

A tout seigneur, tout honneur : ci-dessous une échoppe traditionnelle - dans le quartier de Yanaka à Tokyo, qui ne vend que du riz. Et on ne rigole pas avec la qualité du riz au Japon. Il accompagne tous les repas (dans le régime traditionnel).


Ici, il s'agit d'un plat de soba (nouilles de sarrasin) froides avec un délicieux tofu frais et fondant. Un régal de simplicité dû à l'excellence des ingrédients.


Un pas de côté, on vient de voir l'excellence, voici la rapidité et l'accessibilité. Combien d'étudiants et de célibataires ont pour base alimentaire : la nouille instantanée ! Cup noodle® en est l'inventeur et le plus grand producteur à l'échelle mondiale.


Découvrons un snack, un encas, un petit sandwich à la japonaise, j'ai nommé l'onigiri (triangle de riz recouvert d'une feuille d'algue) fourré au tarako (poche d'oeufs de colin).
La garniture de l'onogiri varie des versions végétariennes (prunes salées, algues diverses, champignons...) aux préparations de poissons comme le tarako ou autres poissons séchés par exemple, et parfois aussi avec de la viande (poulet...).


Dans un restaurant de quartier, un simple poivron frit recouvert de katsuobushi.


 Brochette de blanc de poulet accompagné d'une sauce soja avec un jaune d'oeuf.


Autre type de brochette.


Les Japonais sont vraiment les maîtres en matière de cuisson des oeufs.


Karaage : du poulet mariné dans une sauce soja relevée d'aïl et de gingembre, et frit.


Takoyaki : beignet de poulpes recouvert de sauce bulldog (barbecue) et de mayonnaise.


Dans 101 saveurs du Japon, découvrez 101 produits de base à manger ou à boire disponibles en France et représentatifs de la cuisine japonaise.















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Tatamisés, les fous de Japon by François-Xavier ROBERT est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Paternité-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France.

dimanche 14 décembre 2014

Une liste de chefs japonais en France qui cuisinent français avec l'inspiration et le savoir-faire japonais

Invitation à une sorte de fusion en entre France et Japon

A Paris
Akihiro Horikoshi : La table d'Akihiro
Eiji Doihara : Le Sot-l'y-laisse
Hideki Nishi : Neige d'été
Hidenori Kitaguchi : H Kitchen
Hiroki Hiramatsu : Hiramatsu
Katusaki Okiyama : Abri
Keisuké Yamagishi : Etude
Masa Ikuta : Encore
Michihiro Kigawa : Restaurant Kigawa
Ryuji Tejuma : Pages
Saïto Terumistu : Blue Valentine
Takayuki Honjo : ES
Toshitaka Omiya : Agapé
Yamamoto Masaaki : Vivant Table
Yoshi Morié : L'auberge du 15
Yoshitaka Ikeda : Le clos Y
Yosuke Yamaji : L’Office

En Province
Akira Nishigaki : L'Ourson qui boit - Lyon
Katsumi Ishida : En mets fait ce qu'il te plait - Lyon
Kuniyuki Goto : l'Axel - Fontainebleau
Masafumi Hamano : Au 14 Février - Saint-Amour Bellevue
Masashi Ijichi : La Cachette - Valence
Takao Takano : Le Bec et Taka - Lyon
Tomohiro Uido : Le Village - Marly-le-Roi
Tsuyoshi Arai : Au 14 Février - Lyon
Yu Sugimoto : L'Espérance - Saint-Père

mardi 1 février 2011

Kyôto itinéraires : le saké

Au nord de la grande gare de Kyôto se trouve bien sûr la fameuse Tour de Kyôto mais surtout le quartier de deux des plus grands temples de la ville : Higashi et Nishi Honganji.
Ce quartier traditionnel et tranquille est délimité par la rivière Kamo sur sa droite, la gare au sud et l'avenue Gojo dori au nord.


Une porte monumentale ouvre sur la rue Shomen.


Dans ces ruelles se trouvent de nombreuses petites auberges.


Ainsi que des magasins proposant des articles pour le culte bouddhiste.


Des bâtiments anciens subsistent encore (plus pour longtemps dans le cas de celui-ci...).

Les temples Nishi et Higahsi Hongaji comptent parmi les plus grandes structures en bois du monde. Ils sont en réfection depuis plus de 10 ans. Les travaux touchent à leur fin. On pourra bientôt les admirer dans toute leur splendeur.


L'atmosphère est au recueillement à l'intérieur.



En se rapprochant de la rivière (vers l'est donc), vous croiserez le jardin Shôseien ou Kikoku-tei.


On est dans le centre-ville mais le jardin à un côté sauvage et il n'est pas aussi bien entretenu que certains jardins plus célèbres.


Mais il est tout de même agréable de s'y promener, surtout au printemps.



Pont d'un seul arche courbe, maison de thé...tous les ingrédients d'un beau jardin.

Toutes ces photos sont originales et viennent compléter les commentaires, adresses et conseils du guide Kyôto itinéraires. Vous pouvez ici découvrir Kyôto :

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dimanche 30 janvier 2011

Kyôto itinéraires : balade de nuit entre Pontocho et Kiyamachi

Deux petites ruelles parallèles à la rivière Kamo, sur la rive droite, en plein cœur de la ville rivalisent pour le titre de : "rue la plus animée de la nuit" !

Si Pontocho donne dans le restaurant installé dans les bâtiments étroits typiques de Kyôto, dans les petites allées mystérieuses...Kiyamachi, elle, est plutôt spécialisée dans les bars, karaokés et autres lieux de nuit.


Le canal Takase ajoute au charme de Kiyamachi qu'il borde sur toute sa longueur.

Le petit poucet a semé des lampions...



Aka-chôchin : la lanterne rouge qui désigne un petit bar ou un resto bon marché.


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samedi 14 février 2009

Tabemono = choses que l'on mange

Je vous ai déjà donné un petit échantillon de "choses que l'on mange" au Japon un peu plus bas : cliquez ici. En voici un autre aperçu.


La notion de "plateau-repas" prend tout son sens au Japon. En voici un très représentatif avec : son bol de soupe miso, sa petite omelette posée sur une feuille de shiso, des légumes façon pickles, les tsukemono (= choses macérées), et d'autres légumes sans saumure, et bien sûr, last but not least, le bol de riz agrémenté d'une viande ou d'un poisson.


Dans le cas présent, il s'agit d'anguille grillée, unagi, avec une délicieuse sauce soja légèrement sucrée. C'est un plat typique de l'été. Ca donne des forces quand il fait chaud !


Un autre exemple de plateau repas. Celui-ci est servi dans un temple du Mont Koya. C'est de la cuisine végétarienne. On y retrouve la soupe, le riz, les légumes variés. Et on y découvre du tofu, des tempura - beignets très légers- de légume dont ceux de potiron et des baies.


Nous sommes de retour en ville - à Tokyo - à la devanture d'une boulangerie. Sans le couple de robots Atomu, on pourrait se croire devant une boulangerie européenne.


Alors là pas de doute, c'est bien le Japon avec des plateaux repas de base dans des plateaux jetables de plastique. C'est pas cher entre 500 et 1000 yens (moins de 10 euros). Vite commandé et vite consommé sur le pouce !


Et il s'agit de représentations en plastique...bien imité, pas vrai ?

Une dernière vision caractéristique, le petit vendeur de gâteau avec sa machine infernale. Il nous fait des sortes de gaufres fourrées à la pâte de haricot rouge, azuki.

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dimanche 23 novembre 2008

jeudi 29 novembre 2007

Sakanaza à Shinsaibashi, Osaka

Trouver un bon restaurant d'inspiration française au Japon n'est - de ma propre expérience - pas toujours facile, d'autant moins quand on cherche un restaurant français et à petit budget. J'ai souvent été déçu lorsqu'on m'emmenait dans ces restaurants, c'est souvent très cher, les produits sont généralement bons, mais la manière de les préparer manque souvent de talent, et encore, ça c'est quand on ne vous apporte pas des pizza qui font la taille d'une soucoupe de tasse à expresso à prix d'or... Alors bien sûr, on ne vient pas au Japon pour manger français, mais parfois on a envie de mener des amis japonais partager une bonne table. Et puis pourquoi pas d'ailleurs...




Eh bien, j'ai trouvé à Osaka ce restaurant qui ne se prétend pas français, porte un nom japonais, mais cuisine entre autre des produits français avec le petit truc qui fait qu'on ressort avec la sensation d'avoir vécu une expérience.



Sakanaza, c'est dans le quartier de Shinsaibashi, pas très visible, au premier étage (2F) d'un bâtiment assez banal (Katie's). Autrement dit, il faut connaître pour y aller, d'autant que sans réservation il ne faut pas espérer y trouver place (en réservant le jour même, en semaine, c'est aussi aléatoire).



Le restaurant est tout petit : un comptoir où on peut s'attabler, quelques tables en face, l'ambiance est relaxante. Les cuisines sont ouvertes, et c'est un régal. Si vous n'êtes pas très nombreux, et que c'est possible, demandez à prendre place au comptoir, c'est un magnifique spectacle. Concentration inébranlable, gestes d'une précision redoutable, techniques parfaitement maîtrisées. C'est juste beau. Quand en plus on se rend compte que lors d'un service aucune assiette ne sort de la cuisine identique à une autre, dans sa présentation, mais aussi dans son contenu, et que toutes donnent infiniment envie, on passe un délicieux moment.



Les desserts sont tout aussi beaux et bon que le reste, et pourtant, ce n'est jamais acquis au Japon, les desserts.



Le midi, les menus commencent à un peu plus de 2000 yens, entrée, plat, dessert ; le soir, compter dans les 8000 yens. Et c'est un autre cadeau que ce prix de menu le midi !

Sakanaza Maeda
Tél : 06 6245 5717
Adresse : 〒542-0083 大阪府大阪市中央区東心斎橋1-19-19 KATIE'S(ケイティーズ)心斎橋2F
Site Web [JP] : r.gnavi.co.jp/k209300
Plan : google maps