Une belle émission de France Culture qui nous fait voyager par le son.
Fermez les yeux et écoutez cette baladodiffusion.
"Être en pause, c'est sortir de la règle."
https://www.franceculture.fr/emissions/lexperience/une-pause-au-japon
Si vous aimez le Japon d'aujourd'hui, passez un peu de temps sur ce blog et laissez-moi vos commentaires. De Tokyo à Kyoto, de l'île de Honshu à celle d'Okinawa, des cerisiers en fleurs aux gratte-ciel de Shinjuku...bienvenue au Pays du Soleil Levant. Yokoso !
Une belle émission de France Culture qui nous fait voyager par le son.
Fermez les yeux et écoutez cette baladodiffusion.
"Être en pause, c'est sortir de la règle."
https://www.franceculture.fr/emissions/lexperience/une-pause-au-japon"Les Japonais sont nés sur une île où le premier droit est un devoir : respecter l'autre et savoir vivre ensemble."
Très joli reportage de 1981, un peu patiné par le temps, sur la perception des Français par les Japonais vivant en France. Le reportage nous apprend qu'au début des années 80, 2000 Français vivaient au Japon contre 20 000 Japonais en France !
Bonjour,
J'ai toujours rêvé d'écrire une chanson. Voici un premier essai : Roboto. On connaît la passion des Japonais pour les robots...
Années 2000. Au moment où les robots deviennent de plus en plus humains, on observe que les humains se comportent de plus en plus comme des robots.
Du Japon à l'Europe, frères robots, frères humains : unissez-vous pour reconquérir votre liberté !
"Le robot-amant sera un produit véritablement révolutionnaire. À la différence d'un être humain normal, peu importe la manière dont vous le traitez, aussi rude soit-elle, il ne s'en formalisera pas. Et quand vous n'en aurez plus besoin, vous pourrez facilement vous en débarrasser. Ah ! N'est-ce pas fantastique ?"
Source : série japonaise "Zettai Kareshi", 2008.
« Deru kugi wa utareru » (出る杭は打たれる) une expression japonaise qui signifie le clou qui dépasse appelle le marteau. Cette phrase est une bonne illustration de la société nippone traditionnelle qui préfère la conformité et l'harmonie sociale à l'indépendance et à l'expression individuelle.
Source : www.japoninfos.com
Paroles et textes de la chanson, voix : François-Xavier ROBERT
Création de la mélodie et mise en musique par : Julien HAURANT
Le plaisir d’une visite de Tokyo est celui de se laisser porter par ses envies au hasard des rues et ruelles sans nom qui dessinent un réseau labyrinthique dont la cohérence répond aux exigences du quartier, mais pas à une logique cartésienne, ni à un plan d’urbanisme très défini. Je me rappelle, après avoir vécu plus d’un an dans le quartier très tranquille de Narita Higashi, situé dans le grand arrondissement résidentiel de Suginami, m’être égaré à deux pas de chez moi dans des ruelles, en tout semblables à celle où j’habitais.
Une visite à Tokyo commence en général par la gare ou la station de métro. On choisit une sortie. On peut s’arrêter dans une gargote avoisinante en cas de petit creux, la nourriture y est très abordable et généralement de bonne qualité. Pourquoi ne pas se laisser tenter par un curry japonais, de couleur marron et pas très épicé, ou par des tempura, ces fameux beignets légers et croustillants de crevette, poisson blanc ou légumes variés, ou encore par une délicieuse soupe de nouilles, au bon bouillon à base d’ail, de sauce de soja et de viande de porc, les ramen. Pas de petit creux ? Lancez-vous dans une expérience shopping. Au premier abord, vous pourrez avoir l’impression d’être en terrain connu, vous reconnaîtrez peut-être de grandes enseignes globalisées. Mais les Japonais possèdent cet art subtile d’assimiler et de recodifier tout ce qui vient de l’extérieur. L’accueil « enveloppant », à la fois discret et attentif, et bien sûr ultra poli, qui vous est réservé dans le moindre commerce, est en soi une expérience intéressante. Tokyo est la ville des grands magasins : ceux du quartier d’Ikebukuro, par exemple, font dans la démesure. Leur gigantisme et leur architecture massive font qu’on a surnommé ce bloc de magasins juchés au-dessus de la gare, le « Berlin Wall » de Tokyo ! Mais c’est aussi la ville des petites boutiques : les créateurs (t-shirts, accessoires, vêtements branchés à Harajuku ou Daikanyama), l’artisanat (à Asakusa près du temple Sensô-ji ou aux abords du parc de Ueno), les kimonos et les marques de luxe (à Ginza ou Shinjuku Est), etc.
Aujourd’hui, la tendance en matière de développement urbain à Tokyo est au complexe intégré proposant : une poignée de gratte-ciel, un parc ou un espace ouvert au public, un centre commercial, des espaces culturels (cinéma, musée…), des bureaux. Le modèle du genre est Roppongi hills, inauguré en 2003. Depuis, le complexe de Shiodome a ouvert et d’autres se préparent à ouvrir. Tokyo qui s’étendait plutôt en surface, avec ces maisons basses collées les unes aux autres, gagne en hauteur. Le manque de place et le besoin d’espaces vert expliquent cette tendance. Et c’est intéressant de passer d’une vision à l’autre : des petits pâtés de maison aux grands complexes.