Kikuchi sur l'île de Kyushu

Continuons notre balade automnale sur l'île du sud, Kyushu.
Nous voici dans la plaisante bourgade de Kikuchi. C'est ici.


Ah, la campagne ! Ici, on prépare le chou...peut-être pour faire du kimchi, ce chou épicé et aillé dont la recette est venue de Corée, ou alors, plus japonais : des tsukemono, légumes en saumure.


Le bâtiment principal d'un sanctuaire.


La calligraphie, c'est beau même sur du béton.


Un petit dieu goguenard !


Un arbre sacré qui a dû en voir des pèlerins et des histoires.


Je ne crois pas qu'il n'y ait jamais eu de tigre au Japon. En Chine, oui !
La flèche, c'est aussi un symbole important pour le shintoïsme.


Il n'y a jamais eu de lion non plus, ni en Chine, ni au Japon, d'où ces interprétations assez fantasmagoriques.


Un héros dont j'ignore le nom, désolé :(


C'est le mois de décembre...oui c'est difficile à croire quand on est sous la neige en France...


Kikuchi vu d'en haut.




En entrant dans le sanctuaire, on se purifie la bouche à l'eau de la fontaine.


Avant de partir, on écrit un vœu sur un ema - tablette votive.






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Couleurs de l'automne à Kyôto

Kôyô, "feuilles rouges" : les collines, les jardins des temples, les parcs s'embrasent en automne.


Rouge et vert, c'est pas si mal.


Un temple, c'est fragile, c'est ouvert sur l'extérieur. L'architecture japonaise n'est pas vraiment là pour protéger les êtres humains, mais plutôt pour leur offrir un beau cadre qui leur permet d'admirer la nature - enfin la nature maîtrisée par l'homme.


Symphonie de rouges !

La star du voyage : le "temple de l'eau pure", Kiyomizu dera, perché sur ses immenses pilotis.


La nuit, l'éclairage électrique magnifie le spectacle.


Une chaumière ou un pavillon de thé ?


Les bambous restent bien vert.




Superbes collines d'Arashiyama.


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Couleurs de l'automne au pied du Mont Aso

Le mont Aso, majestueux volcan, se trouve au centre de l'île de Kyushu. Nous nous trouvons ici dans la plaine au sud du cône montagneux.















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Tout le monde à la plage

Fermant la baie de Tokyo au sud-est, la péninsule de Miura accueille sur son versant Pacifique la petite ville de Zushi - qui n'est pas un sushi enrhumé.
Zushi, c'est ICI.


C'est baignable dans le coin. Si on ne craint pas trop les déchets plastiques et le sable noir. Et oui, sur une île volcanique le sable est plutôt noir. Mais ce n'est pas mauvais signe.


Les enfants ne sont pas bégueules. Ils vont à l'eau. Mais bien habillés, c'est très 19e siècle !


Muraki (?) quelque chose ? C'est le nom du petit garçon...enfin, je ne lis pas vraiment les kanji.




Manger ou courir : il faut choisir !


Il a choisi : il mange ! Un bon dessert pâte de riz et haricot rouge dans une belle feuille.


Ou des dango avec une sauce soja sucrée salée.



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Scènes de paysannerie au Japon

Nous sommes ici à Oama, à 14 km au nord de Kumamoto sur l'île de Kyushu, tout près de la baie de Shimabara. (ICI découvrez la carte)


On récolte le riz.

Tout est miniaturisé pour passer dans les rizières et sur les petites routes étroites de campagne.

Il n'y pas que des rizières. exemple avec cette belle serre.


Brûlis sur les rizières.






Très chic les manchons ! Et pratiques pour se protéger du soleil et des égratignures.


Il plairait à Raymond Depardon, non ?
Mikan : les mandarines japonaises.



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